“And after many days an angel of the Lord appeared unto Adam, saying: Why dost thou offer sacrifices unto the Lord? And Adam said unto him: I know not, save the Lord commanded me.” (Moses 5:6)I have always loved this story. It is simple in the way I wish obedience really were. A few years ago, I realized that in the depths of this highly independent, warrior-feminist heart, lived a very obedient soul. I was even more surprised to find that I didn’t know what that meant.We talk about obedience as the first law of heaven. Our scriptures are littered with examples of staunch, unwavering, seemingly senseless obedience. We pose impossible situations to ourselves and one another, routinely testing the theoretical limits of our own convictions. Would I, like Abraham, sacrifice my son? Would I share my husband? Would I build a boat? Would I kill Laban?

 
As with most things at church that make me uncomfortable, I find that there just isn’t enough Jesus in this conversation.

Jesus was a perfectly obedient son. He did everything that his Father in Heaven asked him to do. That courtesy did not extend to any other person, organization, or association; it belonged to God alone.

Jesus was not one to let tradition or social order dictate how he spent his days or conducted his life. He picked grain on the sabbath, cracked his whip at people in the temple, talked to Samaritans, healed Romans, ran away from home, was friendly with women and tax collectors, and referred to the most respected members of his community as “children of hell”. He defended the woman taken in adultery, healed the sick, raised the dead, preached the gospel, organized the church, and atoned for the sins of the world.

Surely Jesus was not commanded in every circumstance. His obedience is evidenced by the things he did which were hard, and which were necessary.

Obedience, then, is a very simple thing. It is the act of responding to light or darkness with both wisdom and faith. God provides the wisdom, we provide the faith.

When the earth was being created, God said, “And we will prove them herewith, to see if they will do all things whatsoever the Lord their God should command them.” (Abraham 3:25) Obedience is neither the purpose nor the test of our lives – it is the indicator that we have learned and grown as we needed to. It is the evidence of our knowledge and faith, of light we have received. It is proof of the condition of our hearts.

 

Message de Janvier 2015 : Les qualités de Jésus-Christ : Un fils obéissant

« Et après de nombreux jours, un ange du Seigneur apparut à Adam, et lui dit: Pourquoi offres-tu des sacrifices au Seigneur? Et Adam lui dit: Je ne le sais, si ce n’est que le Seigneur me l’a commandé. » (Moïse 5 :6)

J’ai toujours aimé cette histoire pour sa simplicité. J’aimerais que l’obéissance soit toujours aussi simple.

Il y a quelques années, je me suis rendue compte que dans les profondeurs de ce cœur indépendante et féministe vivait une âme très obéissante. J’étais très surprise que finalement je ne savais pas ce que cela voulait dire.

Nous disons que l’obéissance est la première loi des cieux. Nos Ecritures sont remplies d’exemples d’obéissance si automatique qu’elle semble aveugle et insensée. Nous nous posons des questions impossibles pour tester les limites de nos convictions : Pourrais-je sacrifier mon fils comme Abraham ? Pourrais-je partager mon mari ? Pourrais-je constuire un bateau ? Pourrais-je tuer Laban?

Comme la plupart des choses qui me rendent mal à l’aise à l’Eglise, je trouve qu’il n’y a pas assez de Jésus dans cette conversation.

Jésus était un fils parfaitement obéissant. Il a fait tout ce que son Père Céleste lui a demandé de faire. Ceci ne s’appliquait pas à toute autre personne, organisation ou association, son obéissance était à Dieu seul..

Jésus ne laissait pas la tradition ou l’ordre social dicter comment il passait ses journées ou la direction que prenait sa vie. Il ramassait du maïs le jour du Sabbat, il a levé son fouet dans le temple, il a parlé aux Samaritains, il a guéri des Romains, il a côtoyé des femmes et a appelé les personnes les plus respectées de sa communauté des « enfants d’enfer. » Il a défendu la femmes prise en adultère, a guéri le malade, prêchait l’Evangile, a organisé l’Eglise, a racheté les péchés du monde.

Jésus n’avait pas besoin d’être commandé en toute circonstance. Son obéissance était évidente par les choses difficiles qu’il a faites.

L’obéissance est donc très simple : l’acte de répondre à la lumière ou à l’obscurité avec de la sagesse et la foi. Dieu nous donne la sagesse, et nous faisons preuve de foi.

Lors de la création de la Terre, Dieu a dit, « Nous les mettrons ainsi à l’épreuve, pour voir s’ils feront tout ce que le Seigneur, leur Dieu, leur commandera. » (Abraham 3:25) L’obéissance n’est ni le but ni le test de notre vie; elle indique que nous avons appris et grandi de la façon dont nous avions besoin. Elle est le résultat de notre connaissance et de notre foi, et de la lumière que nous avons reçue. Elle est la preuve de la condition de notre cœur.